photographie culinaire

sublimer un plat, une texture, le travail d’un chef
et d’une équipe, et mettre en image des goûts,
des émotions, des lieux et des histoires.

ce que je shoote

  • les plats

    l’image qu’on a d’un restaurant quand on arrive sur un site ou un compte Instagram. on se rend compte de ce qu’on aura dans l’assiette, du dressage, de la quantité, du travail du chef et de la gourmandise, en un coup d’œil. c’est la photo de base, l’indispensable

  • les détails & textures

    je suis fasciné par les détails, les textures, l’infiniment petit et les millions d’informations qui se cachent dans une assiette. on peut aussi donner envie en zoomant sur une coulis de fruits, un fromage qui gratine ou dans les détails d’un chou romanesco. le beau est partout.. et il devient bon en prenant le temps de l’observer

  • les produits bruts

    c’est avec eux que tout commence. ça se passe souvent en cuisine. et j’aime pour ma part les shooter très minimalistes, pour montrer la beauté des produits, et des terroirs. un beau saucisson, les fromages, une volaille de Bresse ou des langoustines crues. montrer la qualité, la fraîcheur et la passion de la gastronomie

  • les lieux

    là où tout se passe et la magie opère. une salle de restaurant, des lieux atypiques ou très classiques, des brasseries parisiennes, des bistrots, des gastro, ou endroits feutrés. on montre l’atmosphère, ce qu’on y crée, une décoration, des peintures, un mobilier ou une architecture.
    le lieu et la cuisine d’un chef.. tel le corps et son âme

  • les visages

    de la personne qui nous accueille, à celle qui nous dit au revoir. du chef au commis, en passant par les serveurs. tous ceux qui gravitent dans le restaurant et qui lui permettent d’être ce qu’il est. portraits individuels, en cuisine, de groupe, de collègues devenus amis, et de responsable. tout le monde a sa place dans le restaurant et dans mon objectif

  • le service

    le rush, le sprint, l’affluence, le coup de bourre, les “excusez-moi pardon c’est chaud!!!”, les “il me reste une table pour deux”, les clients pressés et ceux qui déjeunent seuls un mardi à 15h, passion totale pour ces véritables moments de vie, qui s’entremêlent pour former, à chaque fois, de parfaites scènes de théâtre

les plats

les détails & textures

les produits bruts

les lieux

les visages

le service